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Caute Poésie

« Ni rire, ni pleurer, ni haïr, mais comprendre » Baruch d’Espinoza

Boisson spiritueuse
« Le « Monde d’après » soit prêt, il arrive. »,
dixit lui.


A son retour français, par des contraintes, forcé,

Pour comprendre ce Monde, auquel il continuait de ré-émerger,

Il commença, en chasseur-cueillir, sa quête de connaissance du « Monde d’après ».

Tout d’abord dans des pays, confinés,

Puis, de supermarchés, en places de marchés,

Vinrent ensuite, les terrasses de cafés,

En introspections hypnotisées, d’un esprit subjugué.

Il y eut bien de même quelques congrès,

Enfin, des lieux de cultes, où se pratiquent encore les spiritualités.

Et en tous lieux, à interroger les psyché.

Il se plongea aussi dans des lectures, pour philosopher.

Et de ces lieux et pensées, sa conclusion du « Monde d’après », était,

Aux passions codifiées, connectés, mais éloignés,

Bien que tout désir mimétique soit une stupidité,

Puérils, névrosés, ‘temps dégénérés’.

Ce par ailleurs, pour lui-même, constaté,

En spiritualité, nous devrions tous souffrir, de n’avoir pas appréhendé le « Monde d’après ».

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Caute Métaphysique Natura naturans

Systèmes de pensée métaphysique et spiritualités.

« Désir & Joie à ordonner les passions par la Raison naturelle. »


« Qu’est-ce que vous désirez? », Dr. J.O.; « Je ne désire rien. », lui;
« C’est important, pourtant, le désir. », Dr. J.O..


« (…) »parle à cette pierre qu’elle devienne du pain.«. (…) « de pain uniquement ne vivra pas l’humanité. » – Luc 4:3.


Animisme/panthéisme; versus dualisme métaphysique:
polythéisme > monothéisme > athéisme > « ère transhumaniste ».

L’ « ère transhumaniste » (dualisme métaphysique occidental),
où l’athée, bien que toujours en « servitude volontaire »,

—-

« L’État c’est ainsi que s’appelle le plus froid des monstres froids et il ment froidement, et le mensonge que voici sort de sa bouche: « Moi, l’État, je suis le peuple. ».

(…)

J’appelle l’État, le lieu où sont tous ceux qui boivent du poison, qu’ils soient bons ou mauvais; État, l’endroit où ils se perdent tous, les bons et les méchants; État, le lieu où le lent suicide de tous s’appelle – « la vie » ».

Zarathoustra, Nietzsche.

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se désire toujours ordonné dans/par une transcendance:

Dieu, ‘Pour eux, Dieu, c’est nous‘ (dixit lui) (transcendance déviée,
R. Girard):

  • personnelle : médecine (nouvelles ‘technologies vaccinales’ notamment), ‘homme’ technologiquement augmenté.
  • transect : genre. Le corps, en sacrifice. « Le temps que je revienne, ils auront quand même réussi à ‘créer’ d’autres genres », dixit lui.
  • impersonnelle : « techno-solutionnisme » (smartphones, objets connectés et autres), « Intelligence » dite «artificielle». « L’intelligence dite artificielle rendra aussi bête que ceux qui en auront écrit les algorithmes », dixit lui.

« Asile de l’ignorance » (Spinoza) / « Idio-/Médio-cratie ».

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« Dieu est mort ! Dieu reste mort ! Et c’est nous qui l’avons tué ! Comment nous consoler, nous les meurtriers des meurtriers ? Ce que le monde a possédé jusqu’à présent de plus sacré et de plus puissant a perdu son sang sous notre couteau. Qui nous lavera de ce sang ? Avec quelle eau pourrions-nous nous purifier ? Quelles expiations, quels jeux sacrés serons-nous forcés d’inventer ? La grandeur de cet acte n’est-elle pas trop grande pour nous ? Ne sommes-nous pas forcés de devenir nous-mêmes des dieux simplement ne fût-ce que pour paraître dignes d’eux ? »

Le Gai Savoir, Nietzsche.

« Dieu n’est pas mort, pour eux, ‘Dieu, c’est nous‘ », dixit lui.


« Avec ‘classe’, simplement, tu peux être tout, et personne ne pourra t’en vouloir. », dixit lui.


« Dépasser l’athéisme, c’est être pieux au-delà des institutions religieuses, et d’un Dieu incarné, même par l’État. », dixit lui.


Des biais induits par la représentation,
et visualisations associées, de la signification du message du sacrifice du Christ.

Les Évangiles nous disent que nous nous sommes trompés. Violence et sacrifice dans les sociétés dites ‘archaïques’, René Girard. Les institutions, que nous nous serons donnés, nous imposent, comme image, la crucifixion du Christ, dans ses lieux de spiritualité.

N’est-ce pas le rappel de la répétition de ce qu’il ne fallait pas faire? Représenter, les conséquences de la violence du groupe, par un individu sacrifié physiquement, en finalité de la violence psychique du groupe. Nous avons failli de nouveau, à représenter le message transmis, par un corps ensanglanté sur une croix, qui nous reste ainsi induit comme un crime toujours possible.

L’Ascension serait l’image à retenir et donc représenter en priorité, peut-être, dans d’autres cultures?

Faillite du dualisme métaphysique occidental et des spiritualités induites, aujourd’hui constatée, car violent avec une partie du Monde par le passé, ce qui aura assuré nos conforts matériels et financiers.


« «Un peu, et vous ne me voyez plus, encore un peu, et vous ne me verrez plus.

Parce que je pars pour le Père. »

Alors certains de ses disciples se demandent entre eux:

« Qu’est-ce qu’il nous a dit? Un peu, et vous ne me voyez plus, encore un peu, et vous ne me verrez plus. Et parce que je pars pour le Père … »

Ils disent aussi: « Qu’est-ce qu’il a dit, un peu? Nous ne voyons pas de quoi il parle! ».

Lui, Jésus, savait qu’ils désiraient l’interroger.

Et il leur dit: « Vous cherchez à comprendre entre vous ce que j’ai dit: Un peu, et vous ne me voyez plus, encore un peu, et vous ne me verrez plus.

Amen, amen, je vous dis, vous pleurerez, oui, vous vous lamenterez.

Quand le monde, lui, se réjouira!

Vous aurez du chagrin, mais votre chagrin deviendra joie.

La femme quand elle est sur le point d’accoucher a du chagrin, parce que son heure est venue, mais pourtant quand elle a fait venir l’enfant, elle ne se souvient plus de ses angoisses, pour la joie d’avoir mis un homme au monde.

Et vous aussi, maintenant vous avez du chagrin, mais je vous reverrai, et votre cœur se réjouira.

Oui, votre joie, personne ne vous la retirera.

Oui, en ce jour là, vous ne m’interrogerez plus sur rien.

Amen, amen, je vous dis, tout ce que vous demanderez au Père, il vous le donnera en mon nom.

Jusqu’à présent, vous n’avez rien demandé en mon nom.

Demandez, et vous recevrez.

Que votre joie soit toute entière! »»

Jean – 16-16/24.

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Caute Natura naturans Secret

Plats travaillés en expériences, observations et introspection/dépersonnalisation

I. Formule économique, unique:

Matières premières dont énergies fossiles = transformation = création de valeur.

Maximisation du profit lors de la transformation: travail + capital = valeur ajoutée.

Rien de plus à connaitre de l’économie, l’intelligence existait déjà avant, et n’a pas évoluée depuis les révolutions industrielles. Travail + capital n’est que le hamster dans la roue, à qui on dit de pédaler plus vite. Sans énergie, pas d’économie industrielle ou post-industrielle, et pas de démocratie.


II. Des vibrations cognitives communes, qui animent les ‘ping-pong’ dans les têtes:

  • Amuse-bouches (sur pique alimentaire), dédiés à l’une des moult thématiques du ‘character assassination’.

« La violence chez les hommes s’exprime physiquement, et la société les condamne; et chez les femmes, psychiquement, et la société ne les condamne pas. »

Dr. J..

« Je vous confirme que les femmes sont beaucoup plus violentes que les hommes, notamment en période de menstruation. Combien de femmes, depuis l’Antiquité, auront éliminé la progéniture de leur nouvelle conquête? »

Psychologue.e.

https://shs.cairn.info/revue-recherches-familiales-2019-1-page-103?lang=fr


  • Pour le moment:

Autres éléments non publiés, au sujet des tentatives d’un néo-libéralisme agonisant, de re-codification de codes psycho-socio-culturels, par l’opposition entre les genres, le genre tout court … soit, en tous cas, créer les adversités, par retraits identitaires notamment (« On fait se taper entre eux les bas de l’échelle. », dixit lui), pour travailler la masse.

Ça n’a toujours été que ça le « projet » néo-libéral, inventé lorsque le libéralisme ne fonctionnait déjà plus, les ressources s’amenuisant, les bas de l’échelle devant alors se battre entre eux pour maintenir voire augmenter la part du gâteau d’autres. Un ‘projet’ mort-né, dans les acceptations qui ont permis d’élaborer son concept même, où l’efficience et la productivité (« Même l’IA ne vous le ‘rendra’ pas. », dixit lui) ont été confondues avec la violence et le sacrifice
(R. Girard), même symboliques, psychiques en tous cas, en fait, la marque de sociétés dites ‘archaïques’.

Groupe conditionné, qui se conditionne lui-même, jusqu’au commerce des émotions, parce que tout n’est plus que commerce en néo-libéralisme. Jusque dans les ‘musiques’ commerciales et autres, pulsionnelles, pour libérer des passions, les plus simples et faciles d’accès. Et dans l’illusion d’un hédonisme, fait de pulsions, sépare, divise, régente ensuite pour en réguler les passions tristes induites.

« Heureusement, vous n’avez pas d’enfant. », 2015, dixit quelqu’un.
Ou hélas? Qu’est-ce que ça change, sur le fond?

« Le ‘système’ tient et soumet les individus par deux choses, les dettes et les enfants. Ce fût leur choix d’en contracter et d’en faire, mais ensuite devoir plus facilement se soumettre, pour avoir protection. », dixit lui.


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Un dernier tour de piste

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Natura naturans Poésie

Tapisserie d’Arachnée sur invertébrés

« L’autre, c’est celle/celui dont on attend tout, mais qui ne peut pas tout. », E.D..


Hommage à de la Fontaine, Racine (écrit à Chevreuse), et autres.

La fable du scarabée, de la veuve noire et du papillon devenu mante religieuse

Un scarabée, bien cabossé, faisait chemin.

Sur sa route, vacant à ses espoirs,

Il croisa un papillon, un soir.

Tout étourdi, il se dit, une fois n’est pas coutume.

Devrions-nous considérer la situation opportune ?

D’un doigt directeur, le papillon doucha tous ses espoirs.

Le scarabée continua sa route, bien que rempli de doutes.

Très cabossé, la perplexité, cependant, l’habitait.

Il avança donc, sur un chemin, tout tracé.

Il ignorait alors, qu’une veuve veillait au grain.

Que si papillon rencontré hier soir, en fait, n’était que le destin.

Le scarabée scruta alors les alentours.

« Quel chemin est celui-ci, je ne vois aucune Tour ».

« Hier, je croisais un papillon en vol, aujourd’hui me voilà pris dans divers détours ».

« Que voulez-vous de moi? », l’ignorant alors.

Bien peu de choses, de plus, qu’une supposée solidité.

Espoir aussi de le voir oublier ses sensibilités, d’invertébré.

Le scarabée mène chemin, dans l’imaginaire de la veuve, sans destinée projetée.

Le scarabée a cependant chemin, tout en étant coléoptère.

Le papillon fût alors, appelé au secours.

« Puisque tu voles, ne peux-tu m’emporter ? »

« Hier, n’est que très peu, et si tu ne le veux, j’irai quand même ».

Le scarabée pris dans le piège de la veuve, se débâtit, sans flegme.

Le scarabée n’avait plus qu’audace et carapace.

De son poids, auquel ne résiste la dentelle, de même que de ses ailes.

Le veuve déploya alors tous ses stratagèmes, dans le silence glaçant de la mort qu’elle incarne.

Jusqu’à mener le papillon, meurtri, aussi, de tous ces subterfuges, à une ultime nymphose.

Le papillon devint ainsi, par le venin de la veuve, mante religieuse.

Libéré, le papillon, de la dentelle de la veuve, par la même cause épousée.

La dentelle d’une toile, fait robe de mariée, pour une religieuse.

Espoir et désespoir étant frères communs, ils ne peuvent donc que se tenir la main.

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Cedrus libani : 2000, le début d’un chemin