« Désir & Joie à ordonner les passions par la Raison naturelle. »
« Qu’est-ce que vous désirez? », Dr. J.O.; « Je ne désire rien. », lui;
« C’est important, pourtant, le désir. », Dr. J.O..
« (…) »parle à cette pierre qu’elle devienne du pain.«. (…) « de pain uniquement ne vivra pas l’humanité. » » – Luc 4:3.
« Pourquoi Dieu a besoin de toi? », dixit Gh…en, à un autre, 24.09.25, la boucle métaphysique ultime. ‘Dieu’, la conscience, a besoin d’elle même, biais de confirmation de lui. Nous reste donc, simplement, à caractériser la conscience.
« Comment en venir ainsi à se questionner sur tout et le plus profond? Les stratégies sont pourtant simples à comprendre: désorientations, pertes de repères/sens, décompensation et l’ ‘on’ tend des branches, pourries, auxquelles se raccrocher. Une certaine perversité qui semble être devenue commune, en toute simplicité. Les mots peuvent tuer mais ils réparent aussi.
Un antidote: le verbe parole dans le présent linéaire, bien qu’inexistant, pour au minimum pouvoir interpeller un encore plus grand? Vain certainement lorsque le processus, normal et qui prend des biais insoupçonnés, d’autophagie de l’ « Humanité », en Europe de l’Ouest notamment, est enclenché. Derniers partages avant décembre, programmé pour lui, et il suffit de lire les Évangiles pour savoir ce qu’il adviendra,
l’ « Humanité » n’en ayant toujours rien appris, un de leurs principaux enseignements, et « Oui, en ce jour là, vous ne m’interrogerez plus sur rien. ». », dixit lui.
Animisme/panthéisme (immanence); versus dualisme métaphysique (transcendance): polythéisme > monothéisme > athéisme > « ère transhumaniste ».
L’ « ère transhumaniste » (dualisme métaphysique occidental),
où l’athée, bien que toujours en « servitude volontaire »,
« L’État c’est ainsi que s’appelle le plus froid des monstres froids et il ment froidement, et le mensonge que voici sort de sa bouche: « Moi, l’État, je suis le peuple. ».
(…)
J’appelle l’État, le lieu où sont tous ceux qui boivent du poison, qu’ils soient bons ou mauvais; État, l’endroit où ils se perdent tous, les bons et les méchants; État, le lieu où le lent suicide de tous s’appelle – « la vie » ».
Zarathoustra, Nietzsche.
se désire toujours ordonné dans/par une transcendance:
Dieu, ‘Pour eux, Dieu, c’est nous‘ (dixit lui) (transcendance déviée,
R. Girard):
- personnelle : médecine (nouvelles ‘technologies vaccinales’ notamment), ‘homme’ technologiquement augmenté.
- transect : genre. Le corps, en sacrifice. « Le temps que je revienne, ils auront quand même réussi à ‘créer’ d’autres genres, un des pseudo-progressismes, de l’ « enfant roi », notamment. », dixit lui.
- impersonnelle : « techno-solutionnisme » (smartphones, objets connectés et autres), « Intelligence » dite «artificielle».
« L’intelligence dite artificielle rendra aussi bête que ceux qui en auront écrit les algorithmes. Sans plus de cerveaux, elle restera malgré tout utile; et les smartphones resteront les parfaits terminaux de l’avilissement. », dixit lui.
« Asile de l’ignorance » (Spinoza) / « Idio-/Médio-cratie ».
—-
« Dieu est mort ! Dieu reste mort ! Et c’est nous qui l’avons tué ! Comment nous consoler, nous les meurtriers des meurtriers ? Ce que le monde a possédé jusqu’à présent de plus sacré et de plus puissant a perdu son sang sous notre couteau. Qui nous lavera de ce sang ? Avec quelle eau pourrions-nous nous purifier ? Quelles expiations, quels jeux sacrés serons-nous forcés d’inventer ? La grandeur de cet acte n’est-elle pas trop grande pour nous ? Ne sommes-nous pas forcés de devenir nous-mêmes des dieux simplement ne fût-ce que pour paraître dignes d’eux ? »
Le Gai Savoir, Nietzsche.
« Dieu n’est pas mort, pour eux, ‘Dieu, c’est nous‘ », dixit lui.
« Jusqu’à présent, peut-être plus pour longtemps, une chambre à coucher reste un lieu privé, où tes pratiques restent libres. Inutile donc d’opposer son identité sexuelle aux autres, en lieux publics, de plus, ce qui est une vulgarité, et qui s’en contrefichent. Et sans se charcuter, à jamais, encouragé indirectement en cela par de pseudo-progressismes (autre forme de ‘PsyOps US style’, des « timbrés du sous-sol »), avec ‘classe’, simplement, on peut être tout, et personne ne pourra te le reprocher. », dixit lui.
« Dépasser l’athéisme, c’est être pieux au-delà des institutions religieuses, et d’un Dieu personnel, incarné, même par l’État, où le panthéisme ou l’agnosticisme sont de rigueur. », dixit lui.
« ‘Apathéistes’, pratiquants de ‘valeurs’, entre autres pseudo-progressismes, de l’ « ère transhumaniste ». Le New Age, le développement personnel ou de pseudo-progressismes n’auront pas fait de nous des non-dualistes, mais des
‘ni l’un, ni l’autre’. », dixit lui.
En parallélisme au ‘darwinisme social’, ‘enkisté’ dans les têtes, d’autant plus, comme constaté, après le dit trauma sanitaire de 2020, sans que la notion du plus fort jusque dans la violence de la bêtise pour le sacrifice de l’autre, aujourd’hui en œuvre, ne contribue positivement à la sélection naturelle, et ne soit confirmée par la théorie de l’évolution de Darwin, pensé bien avant et ainsi advenu:
« C’est ainsi que la croyance en l’immoralité absolue de la nature, le manque de but et de sens devient la passion psychologiquement nécessaire, lorsque la foi en Dieu et en un ordre essentiellement moral n’est plus soutenable.
Le nihilisme apparaît maintenant, non point parce que le déplaisir de l’existence est devenu plus grand qu’autrefois, mais parce que, d’une façon générale, on est devenu méfiant à l’égard de la « signification » qu’il peut y avoir dans le mal, ou même dans l’existence. Une seule interprétation a été ruinée; mais comme elle passait pour la seule interprétation, il pourrait sembler que l’existence n’eût aucune signification et que tout fût ‘en vain’. », « Le Nihilisme européen », Nietzsche.
Commentaire: la philosophie, par le processus de questionnement basé sur la « (…) recherche sur le premier principe. » (Giordano Bruno), permet d’anticiper les trajectoires.
Rejetant l’Église, à tort ou à raison, mais aussi tout son héritage spirituel, pour ne le remplacer par rien d’autre, notre époque, l’Europe de l’Ouest en particulier, aura retenu que tout est donc immoral, ce qui aura précipité la fin définitive des Empires européens, au 21ème siècle.
Des biais induits par la représentation,
et visualisations associées, de la signification du message du sacrifice de Jésus, ainsi malencontreusement fait Christ, de la sorte adopté plus tard, et détourné, pour ne pas être aux dépens de Rome 1.0.
Les Évangiles nous disent que nous nous sommes trompés. Violence et sacrifice dans les sociétés dites ‘archaïques’, René Girard. Les institutions, que nous nous serons donnés, nous imposent, comme image, la crucifixion du Christ, dans ses lieux de spiritualité.
N’est-ce pas le rappel de la répétition de ce qu’il ne fallait pas faire? Représenter, les conséquences de la violence du groupe, par un individu sacrifié physiquement, en finalité de la violence psychique du groupe. Nous avons failli de nouveau, à représenter le message transmis, par un corps ensanglanté sur une croix, qui nous reste ainsi induit comme un crime toujours possible.
L’Ascension serait l’image à retenir et donc représenter en priorité, peut-être, dans d’autres cultures?
Faillite du dualisme métaphysique occidental et des spiritualités induites, aujourd’hui constatée, car violent avec une partie du Monde par le passé, ce qui aura assuré nos conforts matériels et financiers.
« «Un peu, et vous ne me voyez plus, encore un peu, et vous ne me verrez plus.
Parce que je pars pour le Père. »
Alors certains de ses disciples se demandent entre eux:
« Qu’est-ce qu’il nous a dit? Un peu, et vous ne me voyez plus, encore un peu, et vous ne me verrez plus. Et parce que je pars pour le Père … »
Ils disent aussi: « Qu’est-ce qu’il a dit, un peu? Nous ne voyons pas de quoi il parle! ».
Lui, Jésus, savait qu’ils désiraient l’interroger.
Et il leur dit: « Vous cherchez à comprendre entre vous ce que j’ai dit: Un peu, et vous ne me voyez plus, encore un peu, et vous ne me verrez plus.
Amen, amen, je vous dis, vous pleurerez, oui, vous vous lamenterez.
Quand le monde, lui, se réjouira!
Vous aurez du chagrin, mais votre chagrin deviendra joie.
La femme quand elle est sur le point d’accoucher a du chagrin, parce que son heure est venue, mais pourtant quand elle a fait venir l’enfant, elle ne se souvient plus de ses angoisses, pour la joie d’avoir mis un homme au monde.
Et vous aussi, maintenant vous avez du chagrin, mais je vous reverrai, et votre cœur se réjouira.
Oui, votre joie, personne ne vous la retirera.
Oui, en ce jour là, vous ne m’interrogerez plus sur rien.
Amen, amen, je vous dis, tout ce que vous demanderez au Père, il vous le donnera en mon nom.
Jusqu’à présent, vous n’avez rien demandé en mon nom.
Demandez, et vous recevrez.
Que votre joie soit toute entière! »»
Jean 16:16-24.